Une deuxieme rencontre [ PV Alec ]

Rappel du premier message :

Le château avait l'air désert, et le silence régnait dans le palais des Volturi. Aro et ses frères n'avait pas besoin de moi, et je pouvais donc disposer. Je sortais donc de la salle principales, et me baladais dans les nombreux couloirs du château. Je ne rencontrais personnes, et n'entendais aucun bruit. Il faut dire que beaucoup de Volturi avaient été envoyés en mission. Seuls le bruit de mes talons aiguilles claquant sur le sol résonnait dans les couloirs du Palais.

Il souria, puis aussi les épaules, en me disant que c'était exactement ce qu'il se demandait. Puis, il caressa ma joue et m'embrassa encore une fois. Je prolongeais le baiser, puis continuais de marcher. La lune allait bientôt se coucher, pour faire place au magnifique soleil d'Italie. Donc, cela voudrait dire enfermée toute la journée...

Il passa un bras par dessus mes épaules, et me dit que nous ferions mieux d'aller quelque part, sans fenêtre.

- Bonne idée. dis-je en souriant.

Nous marchions donc, en direction d'un endroit sans fenêtre, car il est vrai que si le soleil se posait sur nos peaux glacés, des miliers de cristaux auraient briller et, cela n'aurait pas été discret. Nous arrivions alors, dans le Hall, ou Gianna nous regarda avec un regard quelque peu bizarre. je tournais la tête, pour échapper a son regard, non pas car celui-ci me dérangeait, je n'en avais rien a faire après tout. Mais peut-être qu'Alec lui, cela le mettait mal a l'aise. Je baissais la tête, et nous traversions le Hall, pour aller dans des couloirs sans fenêtre.

Je ne pu m'empêcher de rigoler quand Alec coupa la vue a Gianna, et lui dit qu'elle n'avais qu'a détourner le regard. Nous arrivions donc dans les couloirs ombres, sans fenêtre.

- La pauvre, dis-je en rigolant. Elle a penser quoi a ton avis ? dis-je en le regardant.

Je lui serrai quelque peu la main, car je le sentais énervé, a cause de l'humaine. Il est vrai qu'elle lui avait lancée toute sortes d'injures. Les humains resteront des humains...

Il haussa les épaules, et me répondit que cela l'importait peu, que son avis n'était pas tellement important. Puis il me demanda, de mon côté.

- Moi, je m'en fiche. Après, il suffit juste que je sache si tu veux que notre relation reste secrète, ou bien le contraire, lui dis-je.

Il me regarda, tout en me disant qu'il n'avait aucune objection a ce que nous nous dévoilions, mais que cela ne dépendais que de moi. Je lui rendis son sourire, puis lui répondit :

- Moi non plus, je m'en fiche, sérieusement, de ce qu'on pourrait penser... Alors, c'est officiel ? demandais-je doucement, en haussant un sourcil.

Car oui, malgré sa, j'avais encore peur qu'il me laisse. Et même si cela ne faisait que quelques minutes que nous étions ensemble, je ne voulais pas le perdre, je ne pouvais pas...

Je vis qu'il avait un petit sourire, puis il raffermit sa prise autour de mes épaules, et déposa un baiser au creux de mon oreille, en y murmurant par la suite que cela était officiel.
Je souriais moi aussi, a mon tour. Je tournais la tête, et déposais mes lèvres sur les siennes.

Il me plaqua doucement contre le mur, en plaçant ses mains des deux côtés de ma tête, et me rendit mon baiser. Je passais mes main autour de sa nuque, et prolongeais toujours le baiser. Puis, je décollai mes lèvres des siennes, bien qu'elle soit toujours a quelques centimètres, et murmurais doucement :

- Je t'aime...

Il souria, puis me dit qu'il m'aimait. Il m'embrassa comme une princesse, puis me portais comme une princesse. Je rigolais donc, et il me demanda ou je voulais que nous allions.

- Hum, je ne sais pas, je te laisse choisir ! dis-je en lui volant un baiser.

Je rigolais, puis répondait :

- Pourquoi n'irions nous pas dans le jardins, plus exactement dans le cloître, au moins, le soleil ne nous dérangera pas, nous n'aurons pas besoin de nous cacher.

Il souria, puis commençais a marcher en direction du cloître, en me disant que c'était une bonne idée. Je rigolais, puis nous repassions une deuxième fois devant Gianna, qui s'empressa de baisser la tête. Je ne pus m'empêcher de rigoler. Surtout que maintenant, c'était encore plus amusant que tout a l'heure, puisque Alec me portait.

Je vis qu'Alec souriait. Nous approchions du cloître, et une fois arriver a celui-ci, Alec me déposa au sol, et je partis m'assoir dans l'herbe, a l'ombre du soleil. Je vis bien que mon petit ami était dans ses pensées.

- A quoi penses tu ? demandais-je doucement.

Je soupirais face a sa réponse. Elle allait me tuer... Déjà qu'elle m'aimait pas trop a la base alors..

- Ah.. répondis-je seulement.