Une deuxieme rencontre [ PV Alec ]

Rappel du premier message :

Le château avait l'air désert, et le silence régnait dans le palais des Volturi. Aro et ses frères n'avait pas besoin de moi, et je pouvais donc disposer. Je sortais donc de la salle principales, et me baladais dans les nombreux couloirs du château. Je ne rencontrais personnes, et n'entendais aucun bruit. Il faut dire que beaucoup de Volturi avaient été envoyés en mission. Seuls le bruit de mes talons aiguilles claquant sur le sol résonnait dans les couloirs du Palais.

Il me serra doucement contre lui, et embrassa mon front. Il m'expliqua ce qu'il ressentait. Un simple humain ne l'aurait pas entendu, seulement, moi, oui.

- Je comprends, dis-je simplement.

Mais j'avais peur. J'avais un mauvais présentement. Comme si ma route a travers l'éternité s'arrêterait la, pour mon plus grand malheur. Or, en ce moment même, je me perdais entre les chemin, et je ne savais que faire.

Je regardais le soleil se lever. Or, je ne le regardais pas vraiment. Plongé dans mes pensées, je pensais a tout et rien. Qu'allait il se passer ? Car peut-être, Alec et moi même avions tord, de penser que nous resterions ensemble. Peut-être que sa sœur ferait tout pour le séparer, ce qui était possible, après tout. Je fermais les yeux, dans l'espoir que tout se passe bien, et que l'amour dépasse les limites. Je savais, malgré tout, que je n'abandonnerais pas. Je me battrais, même si je dois y laisser ma vie.

- Aro en a parler, tout a l'heure. Ils seront bientôt de retour. dis-je.

Je parlais bien évidemment des Volturi envoyés en mission, mais il l'avait surement compris.

Il répondit alors, que Jane allait revenir. Je souriais.

- Oui. Et puis, le château aura l'air moins désert. dis-je en rigolant.

Aro m'avait dit, hir, que je partirais en mission dans les jours a venir, il faudrait que j'en parle...

Je souriais. Bon, je me lançai je devais bien lui dire, de toute façon.

- Au faite, pendant que j'y pense, Aro m'a annoncé que je partirais en mission dans les jours a venir. dis-je doucement.

Je ne bougeais pas, attendant sa réponse.

Il releva la tête vers moi, et n'y croyait certainement pas, telle une mauvaise blague que je lui faisait.

- Surement dans cinq ou six jours. dis-je doucement

Certes, j'avais eu tord de ne pas lui avoir dis avant, mais j'avais oublier. Peut-être m'en voudrait il ? Je n'en savais rien, et préférait attendre et voir sa réaction.

Il répondit simplement un petit " Bien. " J'espérais qu'il ne m'en voulait pas.

- Désolée de ne pas te l'avoir dis avant, dis-je en baissant la tête.

Je souriais face a sa réaction. Il e serra doucement contre lui et embrassa mon front. Je me blottis alors contre lui, ne trouvant plus rien a dire. Je fourrais ma tête dans son cou, et fermais les yeux. j'étais tellement bien, dans ses bras. C'est comme si le temps s'arrêtait. Je n'avais plus de problèmes en sa présense.

Il avait raffermit doucement, sa prise sur moi, pour me serrer contre lui. Qu'est ce que j'étais bien dans ses bras. Mais est ce que cela changerait, quand sa soeur reviendra ? Sera t-il comme maintenant ?

- Alec ? lui dis-je.

Après un moment de silence, je reprenais.

- Que va t-il se passer, pour nous, par la suite ?

C'était idiot, c'est vrai. Mais j'avais besoin de savoir.

- Alec ?

Après un moment de silence, elle reprit :

- Que va t-il se passer, pour nous, par la suite ?

Alec baissa les yeux vers sa douce :

- Comment ça ?

Il me regarda, et me demanda plus d'explication.

- Pour... notre couple, si je puis dire.

- Pour... notre couple, si je puis dire.

Alec se dit que, soit il avait le cerveau e mode ralentit, soit.. il avait le ceveau en mode ralentit. Ile ne comrenait pa tout à fait, mais décida tout de même de rendre une réponse :

-Ben rien, que veux-tu qui se passe ?

Je gardais le silence, puis enfin, répondait.

- Que tu me quitte. dis-je doucement.

Je fermais les yeux, me sentant déjà mal, rien que d'y penser...

Il me serra un peu plus contre lui, et m'embrassais. Puis, il me répondit que Jamais, jamais il ne me quitterais. Je souris, et me hissais sur la pointe des pieds, pour l'embrasser, une énième fois.

- Je suis rassurée, dans ce cas.

Il me répondit que je n'avais pas de quoi être inquiète. Je souriais.

- On ne sait jamais, dis-je doucement.

Mais le doute était passé, désormais. Certes, peut-être serions nous séparer par une quelconque chose, mais il ne voulait pas. Et j'en étais heureuse.

Il eut un petit sourire en coin, et approuva ma réponse. Je relevais la tête vers lui.

- Tu me diras quand tu voudras parler a Jane.